dimanche 13 septembre 2009
dimanche 6 septembre 2009
Constantinople
Une petite semaine s'est écoulée et bien des images ont coulées. Il m'aurait été impossible de prévoir ce qui m'attendait. Tant au niveau émotionnelle que divertissement.
Le tout a commencé avec de nombreux noeux dans l'estomac et la tête toute embrouillée par l'épuisement du voyage. J'ai été soulagé de certain de mes symptômes lors que j'ai finalement aperçu Marita et reçu quelques un des ses baisées. Encore aujourd'hui, il me semble de l'ordre de la fiction de l'avoir à porté de bras... mais c'est pas le cas!
Le tout se mélange avec Istanbul. C'est une ville or de l'ordinaire pour le petit Québécois que je suis. Je parcours des petites ruelles sineuses et apiques, très achalandé par des enfants, des "mami", des chats au physique de ti-ling et le tout bordée par des nombreux kiosques. L'espace restant est disputé entre les autos roulant à vive allures à quelques centimètres de notre peau. ( j'en connais un qui aimerait ça!!)


Je crois que si je devais allongé mon séjour, je m'acheterais un tourne disque. C'est le paradis pour acheté de vieux meubles et des vinyles. On peut même faire des drôles de requête telle d'acheter une table et de demander de coupé les pattes au quart. À savoir si le résultat de l'opération est droit c'est autre chose.
Le Bosphorus, rivière séparant la ville en deux, fourmilles de traversier et des pêcheurs sur la rive. Alors, sur ma chaise de plastique, entrain de déguster du poisson pané avec une boisson toute à fait dégueulasse, je peux admirer un paysage rempli de bateau, une foule sur le pont et l'arrière plan remplie de mosqués impréssionantes. Le tout est légèrement masqué par un smog crée par la chaleur écrasante. Contrairement à ce que j'aurais pu le croire, le smog ne gâche pas le paysage.


Concernant la dîte boisson exécrable, c'est l'équivalent de boire un mélange de jus de carrote et de jus de cornichon très salé. J'ai bu un verre en entier pour être sur de moi. C'est horrible !! D'autre part, il y a le thé et le café qui est excellent! La bouffe généralement accompagné de yogourt et très très bonne. Il y a beaucoup d'épice ce qui la rend savoureuse.
La rue principale du côté de l'europe ( la ville est sur deux continants) est bondé en tout temps. J'ai l'impression d'être à la sortie d'un festival. Sur la rue, il y a... quelques choses comme 40 000 personnes. Telles les festivales, il y a des marchants ambulant ici et là, de la musique, des bars, des boutiques modernes...
Une des choses que j'ai aperçu en premier c'est laquantité de personnes qui font "rien" sur le bord de la route ( ruelle). De jour comme de nuit, il y a toujours 2 ou 3 personnes qui s'arrêtent pour s'assoire et probablement bavarder un peu. Les Turques de façon général sont très accueillant. Au restaurant on nous donne de la bouffe pour patienter que la nôtre soit prête. On nous apprend à compté en arabe, en "farci", en kurde et bien sur en Turque.
La ville est rempli d'entroit pour se relaxer et admirer la vue la ville. De jours comme de nuit.
Il y a plusieurs musicien qui joue de la musique pour jouer de la musique. Ça rend les balades dans les rues plus intéressante.
Il ne faut pas oublier que c'est le ramadan. Alors pourquoi pas aller proche d'une mosqué observé les gens attendres de briser le jeune dans une immense terrasse. C'est très intéressant de voir les gens salé leur soupe, se couper un morceau de pain, verser un verre d'eau et bavarder en attendant l'heure fatidique.Alors sous le signal de l'imam, ( une prière est entendue sur les haut parleur de la mosqué), toute le monde se met à manger en même temps.
Dans la nuit,vers les 2h30, il y a une personne se baladant avec son tambour réveillant les gens pour qu'ils puissent préparer le déjeuner avant l'appelle de la première prière. Les enfants accompagne souvent ce petit drummer. Vers les 5h, c'est l'imam qui chante la première prière de la journée. Malheureusement, ce ne sont pas tous les imams qui sont dotté du talent de chanteur.
Je pourrais vous compté quelques épisode de soirée entre professeur d'anglais, ou bien de la bière turque ou des kebab, du bons goût des pêches, du sentiment étouffant des foules, dela prière dans les mosqués, des rêves bizaroïdes que générent se nouveau climat, de la langue turque.. mais je vais me contanté de cette courte discription.
Je vais essayé maintenant de mettre tout ça en photo à présent :)
Le tout a commencé avec de nombreux noeux dans l'estomac et la tête toute embrouillée par l'épuisement du voyage. J'ai été soulagé de certain de mes symptômes lors que j'ai finalement aperçu Marita et reçu quelques un des ses baisées. Encore aujourd'hui, il me semble de l'ordre de la fiction de l'avoir à porté de bras... mais c'est pas le cas!
Le tout se mélange avec Istanbul. C'est une ville or de l'ordinaire pour le petit Québécois que je suis. Je parcours des petites ruelles sineuses et apiques, très achalandé par des enfants, des "mami", des chats au physique de ti-ling et le tout bordée par des nombreux kiosques. L'espace restant est disputé entre les autos roulant à vive allures à quelques centimètres de notre peau. ( j'en connais un qui aimerait ça!!)
Je crois que si je devais allongé mon séjour, je m'acheterais un tourne disque. C'est le paradis pour acheté de vieux meubles et des vinyles. On peut même faire des drôles de requête telle d'acheter une table et de demander de coupé les pattes au quart. À savoir si le résultat de l'opération est droit c'est autre chose.
Le Bosphorus, rivière séparant la ville en deux, fourmilles de traversier et des pêcheurs sur la rive. Alors, sur ma chaise de plastique, entrain de déguster du poisson pané avec une boisson toute à fait dégueulasse, je peux admirer un paysage rempli de bateau, une foule sur le pont et l'arrière plan remplie de mosqués impréssionantes. Le tout est légèrement masqué par un smog crée par la chaleur écrasante. Contrairement à ce que j'aurais pu le croire, le smog ne gâche pas le paysage.
Concernant la dîte boisson exécrable, c'est l'équivalent de boire un mélange de jus de carrote et de jus de cornichon très salé. J'ai bu un verre en entier pour être sur de moi. C'est horrible !! D'autre part, il y a le thé et le café qui est excellent! La bouffe généralement accompagné de yogourt et très très bonne. Il y a beaucoup d'épice ce qui la rend savoureuse.
La rue principale du côté de l'europe ( la ville est sur deux continants) est bondé en tout temps. J'ai l'impression d'être à la sortie d'un festival. Sur la rue, il y a... quelques choses comme 40 000 personnes. Telles les festivales, il y a des marchants ambulant ici et là, de la musique, des bars, des boutiques modernes...
Une des choses que j'ai aperçu en premier c'est laquantité de personnes qui font "rien" sur le bord de la route ( ruelle). De jour comme de nuit, il y a toujours 2 ou 3 personnes qui s'arrêtent pour s'assoire et probablement bavarder un peu. Les Turques de façon général sont très accueillant. Au restaurant on nous donne de la bouffe pour patienter que la nôtre soit prête. On nous apprend à compté en arabe, en "farci", en kurde et bien sur en Turque.
La ville est rempli d'entroit pour se relaxer et admirer la vue la ville. De jours comme de nuit.
Il y a plusieurs musicien qui joue de la musique pour jouer de la musique. Ça rend les balades dans les rues plus intéressante.
Il ne faut pas oublier que c'est le ramadan. Alors pourquoi pas aller proche d'une mosqué observé les gens attendres de briser le jeune dans une immense terrasse. C'est très intéressant de voir les gens salé leur soupe, se couper un morceau de pain, verser un verre d'eau et bavarder en attendant l'heure fatidique.Alors sous le signal de l'imam, ( une prière est entendue sur les haut parleur de la mosqué), toute le monde se met à manger en même temps.
Dans la nuit,vers les 2h30, il y a une personne se baladant avec son tambour réveillant les gens pour qu'ils puissent préparer le déjeuner avant l'appelle de la première prière. Les enfants accompagne souvent ce petit drummer. Vers les 5h, c'est l'imam qui chante la première prière de la journée. Malheureusement, ce ne sont pas tous les imams qui sont dotté du talent de chanteur.
Je pourrais vous compté quelques épisode de soirée entre professeur d'anglais, ou bien de la bière turque ou des kebab, du bons goût des pêches, du sentiment étouffant des foules, dela prière dans les mosqués, des rêves bizaroïdes que générent se nouveau climat, de la langue turque.. mais je vais me contanté de cette courte discription.
Je vais essayé maintenant de mettre tout ça en photo à présent :)
lundi 17 novembre 2008
Morelia
un de ces soirs de novembre, je m assoie dans un bar en compagnie des mes 2 amies Sofia et Eva et de leurs amis.
Les mures oranges, la musique latine ( de tous les genres), et les fenetres ouvertes sur les batiment de type espagnole et le tout dans le petit jeu d ombre des lampadaire.
La petite serveuse mexicaines au percing vient nous donner nos bieres et les conversations debutent. Il m etait difficile de tout saisir avec la musique et le "dialecte" mexicain, mais tous les filles travaillaient dans les villages, dans les communautes. J etais content de pouvoir ecouter une chantillon de la condition des femmes dans ces villages. Sans ce le cacher, ce sont elles qui semble avoir la vie la plus difficile.
Jen profite pour regarder autour de moi, regarder leur expressions gestuel et facial !
Enfin je me sens bien depayse, que de chance jai !
Merci a tous ceux qui me supporte dans mes aventures !
Les mures oranges, la musique latine ( de tous les genres), et les fenetres ouvertes sur les batiment de type espagnole et le tout dans le petit jeu d ombre des lampadaire.
La petite serveuse mexicaines au percing vient nous donner nos bieres et les conversations debutent. Il m etait difficile de tout saisir avec la musique et le "dialecte" mexicain, mais tous les filles travaillaient dans les villages, dans les communautes. J etais content de pouvoir ecouter une chantillon de la condition des femmes dans ces villages. Sans ce le cacher, ce sont elles qui semble avoir la vie la plus difficile.
Jen profite pour regarder autour de moi, regarder leur expressions gestuel et facial !
Enfin je me sens bien depayse, que de chance jai !
Merci a tous ceux qui me supporte dans mes aventures !
samedi 8 novembre 2008
Monterrey
Avant d'arriver à ma destination final, je suis passé par les states : 3 arrêts burlington, Atlanta, San Antonio
Burlington : Ils aiment bien fêter lhalloween, ils étaient déguisé dans le termine de bus ( les employés). Ensuite, y a quelques fanatique de politique : "arrest Obama" et de lautre côté de la pancarte :" stupid sheeps".
Atlanta : " what is going to be for you honey"..... Ça c'était ma seruveuse au restaurant. Une femme noir bien bâtit qui appellait tout ses clients baby,honey,darling....
San antonio : Tout le monde déguisé dans les rues, les files d'attentes pour les bars ( costumé) et la chauffeur de bus qui compte qu'elle a fait des "twinkies" maison.
Chacun des arrêts les gens ont été surper sympatique et très utile pour me donner les renseignement, il ne faisait pas que le minimum. Un truc étrange par contre, tout au long de mes promenade, je me sentais comme à la télé. Les expressions, les accents et les sujets de discussion étaient très similaire heheheh
Dans ma bus rempli de mexicain, me suis rendu jusqu'a monterrey. Avec un petit retard de 6hrs ( les douanes), j'étais content d'avoir mis les pieds chez Marie et Dan. Enfin un peu de chaleur et de la nourriture ! Si je peux résumé la description de la ville, c'est tout comme le mélange de mes connaissance latino et État-unienne. Quand je regarde le petit mexicain, les cheveux crêpés vers l'arrière dans sa camaro ou la femme au téléphone portable, lunette fumée dans son gros suv Cadilac, encore une fois c'est exactement ce style qu'on voit dans les soap mexicains
Encore une fois les gens pour donner des indications, ils sont très gentil. Desfois, ils nous aident, même s'ils savent pas de quoi ils parlent hhahaha.
Aussi, il faut je me rappelle quand la seciton boulangerie de l'épicerie, on prend un grand plateau, comme les serveur de restorant, et une pair de pince et on met tout ce que l'on désire manger sur le plateau. Ensuite on passe au comptoire pour l'emballer. Drôle d'image tout de meme. Je ne sais que trop penser de la ville. Je mène une vie que je n'aurai jaimais imaginé. Est-ce que c'est l'expérience mexiciane, société remplie de contraste ? Je pourrai en faire la comparaison la semaine prochaine ou je devrais rejoindre mes amis Eva et Sofia au centre du mexique.
Burlington : Ils aiment bien fêter lhalloween, ils étaient déguisé dans le termine de bus ( les employés). Ensuite, y a quelques fanatique de politique : "arrest Obama" et de lautre côté de la pancarte :" stupid sheeps".
Atlanta : " what is going to be for you honey"..... Ça c'était ma seruveuse au restaurant. Une femme noir bien bâtit qui appellait tout ses clients baby,honey,darling....
San antonio : Tout le monde déguisé dans les rues, les files d'attentes pour les bars ( costumé) et la chauffeur de bus qui compte qu'elle a fait des "twinkies" maison.
Chacun des arrêts les gens ont été surper sympatique et très utile pour me donner les renseignement, il ne faisait pas que le minimum. Un truc étrange par contre, tout au long de mes promenade, je me sentais comme à la télé. Les expressions, les accents et les sujets de discussion étaient très similaire heheheh
Dans ma bus rempli de mexicain, me suis rendu jusqu'a monterrey. Avec un petit retard de 6hrs ( les douanes), j'étais content d'avoir mis les pieds chez Marie et Dan. Enfin un peu de chaleur et de la nourriture ! Si je peux résumé la description de la ville, c'est tout comme le mélange de mes connaissance latino et État-unienne. Quand je regarde le petit mexicain, les cheveux crêpés vers l'arrière dans sa camaro ou la femme au téléphone portable, lunette fumée dans son gros suv Cadilac, encore une fois c'est exactement ce style qu'on voit dans les soap mexicains
Encore une fois les gens pour donner des indications, ils sont très gentil. Desfois, ils nous aident, même s'ils savent pas de quoi ils parlent hhahaha.
Aussi, il faut je me rappelle quand la seciton boulangerie de l'épicerie, on prend un grand plateau, comme les serveur de restorant, et une pair de pince et on met tout ce que l'on désire manger sur le plateau. Ensuite on passe au comptoire pour l'emballer. Drôle d'image tout de meme. Je ne sais que trop penser de la ville. Je mène une vie que je n'aurai jaimais imaginé. Est-ce que c'est l'expérience mexiciane, société remplie de contraste ? Je pourrai en faire la comparaison la semaine prochaine ou je devrais rejoindre mes amis Eva et Sofia au centre du mexique.
jeudi 30 octobre 2008
att promenera kl 21 den 30 oct
Livet är lite konstig och kanske det är bättre sà där. Alla har nàt att hänge efter. Det kan vara arbet, gud, kompisar, värld eller universum. Sen man kommer att fixa sitt liv om det, det kommer att vara sin energibrunn. Kul heller hur ?
Den var min känsla ikväll när var jag ensam vid gatan. Mörk ( glömt inte att du har sett gulan fràn lampan...svartgula) och kalt utan musik. Bara där kunde jag titta pà vänster och sen pà höger. Och jag förstog att jag var mit i melan ett hav av manniskor med rikning och jah utan màl. Hjärna har börjat att sprigna "fram till bak" för att hitta den perfekt ämne... den där som jag borde fundera om.
Jag var i en hàl och kunde titta och bara titta. Det är precis som en film och jag en stor roll i.
Vad fan jag var glad :)
Den var min känsla ikväll när var jag ensam vid gatan. Mörk ( glömt inte att du har sett gulan fràn lampan...svartgula) och kalt utan musik. Bara där kunde jag titta pà vänster och sen pà höger. Och jag förstog att jag var mit i melan ett hav av manniskor med rikning och jah utan màl. Hjärna har börjat att sprigna "fram till bak" för att hitta den perfekt ämne... den där som jag borde fundera om.
Jag var i en hàl och kunde titta och bara titta. Det är precis som en film och jag en stor roll i.
Vad fan jag var glad :)
vendredi 26 septembre 2008
Les départs
Il n'y a rien de facil dans les départs d'autant plus quand on croit que c'est définitif. Certainement on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve. Peut importe, reste que le jeu de sentiment utilisé est assez impressionnant. Ça commence par des petits mots de vendre et ça se poursuit avec de l'angoisse. Et même par moment, on peut entendre une petit voix dans notre tête : "ho merde ho merde ho merde ho merde...". Quand la raison finir par prendre le dessus, et bien que fait-on pour profiter de ses derniers instant ? Quel la meilleurs façon ? Quoi doit-on faire ? Est-ce plus "plaisant" de vivre ça mélacoliquement? Doit on être courageux et porter un masque de gars souriant ? Que doit-on faire de "ces derniers moments".... Après tout on ne peut plus vraiment changé le séjour, tout c'est déjà déroulé.
Probablement que celui qui a la réponse ( et de bonnes réponses) est un fou ! Je crois qu'il n'y pas vraiment d'autre moyen que de les trouver que par essaies et erreurs.... mais puisque chaque départ est unique, ça limite drôlement le nombre d'essaie.
J'aurais bien voulu que le réconfort le plus important vienne de mes proches.... mais ce ne fut pas le cas. Le réconfort est venu d'auprès d'un ancien cuisinier qui s'est mis les deux pieds dans les plats en venant travailler au même en droit que moi. Tout le monde, s'en fichait pas mal que je quitte la boîte. Mes 2 camarades de travail ( les deux qui fumaient dans mon video) sont venus me porter jusqu'a la gare de train ( train que je prennais chaque jour pour revenir chez nous). Au moment de sortir de la voiture, l'ex cuisinier sort aussi. Il me regarde fierement et me temps la main pour ensuite faire une accolade masculine ( hahahhaha accolade masculine... des fois j'exagère) Son sourrire et son regard, ils étaient tous deux content, ça semblait être un honneur de pouvoir me dire aurevoir. Je ne sais pas si c'est sa personne ou sa culture ( kosovo). J'ai été touché et très content de sa petit acte de tendresse.
Un départ peut être heureux.... c'est pas impossible
Probablement que celui qui a la réponse ( et de bonnes réponses) est un fou ! Je crois qu'il n'y pas vraiment d'autre moyen que de les trouver que par essaies et erreurs.... mais puisque chaque départ est unique, ça limite drôlement le nombre d'essaie.
J'aurais bien voulu que le réconfort le plus important vienne de mes proches.... mais ce ne fut pas le cas. Le réconfort est venu d'auprès d'un ancien cuisinier qui s'est mis les deux pieds dans les plats en venant travailler au même en droit que moi. Tout le monde, s'en fichait pas mal que je quitte la boîte. Mes 2 camarades de travail ( les deux qui fumaient dans mon video) sont venus me porter jusqu'a la gare de train ( train que je prennais chaque jour pour revenir chez nous). Au moment de sortir de la voiture, l'ex cuisinier sort aussi. Il me regarde fierement et me temps la main pour ensuite faire une accolade masculine ( hahahhaha accolade masculine... des fois j'exagère) Son sourrire et son regard, ils étaient tous deux content, ça semblait être un honneur de pouvoir me dire aurevoir. Je ne sais pas si c'est sa personne ou sa culture ( kosovo). J'ai été touché et très content de sa petit acte de tendresse.
Un départ peut être heureux.... c'est pas impossible
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